VADIM ANDROUSOV (1895-1975)

Lot 32
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VADIM ANDROUSOV (1895-1975)
~Nu féminin agenouillé, un récipient sur la tête Palissandre de Rio Signé «Androusow» sur la base Numéroté «1» avec le cachet de l'éditeur «Édition/SAS Paris» et la mention «Made in France» sous la base Rio rosewood, signed «Androusow» and numbered «1» with impressed manufacturer's mark «Édition/SAS Paris» and «Made in France» to underside 77 cm - 30 1/4 in. PROVENANCE Collection particulière, France NOTE Dans leur monographie consacrée à Jacques Adnet parue aux Éditions de l'Amateur en 2009, Alain-René Hardy et Gaëlle Millet décrivent les statuettes des frères Adnet «sculptées dans des billes exotiques, acajou et palissandre de Rio, par l'atelier S.A.S. (Société anonyme de sculpture ?), spécialisé dans la production de sculptures de salon ; elles en portent la marque gravée en dessous, en sus de la signature Adnet sur le côté». Ils déplorent : «On a peu d'informations sur cet atelier qui a également façonné des pièces signées des frères Martel. N'était-il que façonnier pour les auteurs, sous-traitant pour un éditeur, éditeur lui-même ?» In their monograph on Jacques Adnet published by Éditions de l'Amateur in 2009, Alain-René Hardy and Gaëlle Millet describe the sculptures of the Adnet brothers "carved in exotic logs, mahogany and Rio rosewood, by the S.A.S. workshop (Société anonyme de sculpture ?), specialized in the production of salon sculptures; they bear the engraved mark underneath, in addition to the Adnet signature on the side". They deplore: "We have little information on this workshop which also made pieces signed by the Martel brothers.Was it only a manufacturer for the authors, a subcontractor for a design editor, a design editor itself?" «Androusov est une sorte d'André Chénier de la sculpture. Il modèle avec tact des formes harmonieuses, juvéniles toujours, sensibles infiniment. André Arbus qui préface son exposition écrit à son propos, avec raison, qu'Androusov a «la nostalgie de l'antique, le sentiment des pures proportions» et qu'il nous donne l'un et l'autre «avec la vie elle-même». Les figures de femmes et d'adolescents que l'artiste réunit en un serein cénacle, témoignent de la justesse de cette assertion.» Gaston Poulain, «Androusov», in Comoedia, 20 juin 1936, n°8531, p. 3
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