HUGO Victor (1802-1885)

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HUGO Victor (1802-1885)
L.A.S. «V.», Ostende «chez Lantoine» 25 octobre [1865], «6 h. du soir», à sa femme et ses enfants [à Bruxelles] ; 1 page et demie in-8. Lettre familiale lors de son retour de Belgique à Guernesey, alors que viennent de paraître les Chansons des rues et des bois. «Comme c'est bête ! Très gros temps. Impossibilité de partir. Si j'avais été seul, je serais peut-être parti quand même, et j'aurais eu bien tort, car à l'heure qu'il est on n'a pas encore la dépêche annonçant l'arrivée à Douvres du bateau parti ce matin à 8 h. qui m'eût emmené. Donc cette prudence a été sagesse. On pense que la mer sera apaisée demain matin, mais dans tous les cas, je continuerai d'être sage. Soyez tranquilles, je pense à vous, mes bien-aimés»... Il ajoute : «Tous les journaux belges qui arrivent ici sont pleins des Ch. des R. et des B. N'oubliez pas de m'envoyer à Guernesey le plus de ces journaux que vous pourrez. Serrement de main ex imo à M. Gustave Frédérix, [...] il m'épargnera beaucoup d'ennuis de poste avec cette ligne dans l'Indépendance - M. Victor Hugo a quitté Bruxelles. Il est retourné à sa résidence de Guernesey»... On joint un billet a.s. «V.H.» d'encouragement à un écrivain (4 juillet, défauts) ; et un brouillon autographe ou «copeau» biffé après insertion (1 page in-12)
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